Ouranos à Henoula [14/11/07 à 09h00] - Ouranos

Ouranos se réveille à l'aube, tout est encore sombre et silencieux, pourtant quelque chose ou quelqu'un bouge dans la grandiose tente blanche.

Le Magicien ouvre un oeil discrètement et voit un hibou en train de déféquer sur son bureau. Il se lève alors d'un bond, prend son bâton blanc et prononce des mots en langue Ancienne, "Eclaritum explosium". Après avoir dit ses mots, un éclair blanchâtre sort de l'extrémité de son bâton et va frapper l'hibou de plein fouet sur son flanc gauche. Le corps de l'hibou se fige, puis explose sans bruit, se transformant en cendres. Le Sublime Magicien Blanc les ramasse, les mets dans sa cheminée, puis les allume en prononçant "Illumitum".

La Superbe tente étant maintenant éclairée, Ouranos Le Blanc peut voir la lettre, que le hibou mal élevé devait sûrement lui donner, posée sur la table. Il la saisit et la lit, c'était une missive d'Henoula.
[...]
Notre Indétrônable Magicien se sent indigné après l'avoir lue, alors il prend une de ses nombreuses et belles plumes, plus précisément celle faite avec une plume de wyverne et les pompons rose accroché au bout. Ouranos s'installe confortablement sur son trône et écrit:

Bien le bonjour,

Henoula, pourquoi pleures-tu du fait que nous n'avons pas de chef dans notre groupe?

Un Magnifique et Elégantissime Magicien Blanc ne te suffis pas pour mener le groupe à la victoire?

Je tiens à te dire que tu m'as déçu de ne pas avoir penser à mon Illustre, Attachante et INOUBLIABLE Personne. J'espère que la prochaine fois tu pensera en premier lieu à Moi, car "Dum spiro, spero"

Sur ce, bonne journée escla...amis!

Ouranos, Le Magicien Blanc.

Ouranos, satisfait de sa lettre, invoque alors de nombreux hiboux et envoie la missive à tous ses...heu...les fidèle Oskoreins.

Une fois les hiboux partis, Notre Magicien décide d'aller poursuivre ce qu'il avait commencé, c'est à dire un repos bien mérité. Il se déplace jusqu'à Son noble lit, enlève Ses pantoufles blanches et se glisse dans Son lit tombant dans un sommeil profond, tel Polyphème s'endormant après avoir bu le vin d'Ulysse.
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PS: "Tant que je respire, j'espère."