Herazal voyait autour de lui les Oskorei tomber. Le magicien blanc reçu des flèches, et Herazal le vit chanceler.
Dans un état proche du désespoir, il s’avança vers le pretenti… magnifique magicien blanc et essaya de lui administrer un soin. Malheureusement, son fléau divin tomba de sa poche au moment ou il se baissa vers le pire égocen… le meilleure magicien du monde, lui tombant sur sa trop gross… très belle tête et il fut rapidement congédié par le plus radi… généreux des apprentis.
Trébuchant dans la neige, il maudit une fois de plus les Dieux, qui après lui avoir amené l’ombre, lui avait amené la neige. N’ayant pas comme le professeur plusieurs jeunes et belles demoiselles à ses pieds , pour ne pas employer des termes plus crus, prêtes à bénir son armure, il passait ses nuits à polir son armure que l’humidité abîmé, et n’était donc pas très en forme au lever. Shloom n’était pas toujours très frai au lever, mais Herazal pensait que c’était pour d’autres raisons. Et les pigeons qu’il voyait sans cesse naviguer entre certaines tentes et la sienne confirmaient cette impression.
Sa bonne humeur fut achevée quand arrivé derrière un rocher, il glissa sur une plaque de verglas et s’étala de tout son long, verglas que l’ombre avait protégé de quelques rares rayons du soleil.
Montant sur le rocher, il regarda autour de lui. Les rangs Orcs étaient devant eux, impénétrables. Sans même se retourner, il entendait les bruits des armes de l’armée des Deux fois nés à l’opposé des Orcs. Ils étaient pris en sandwichs, dans le sens premier du termes, pas dans celui que Shloom avait l’habitude d’etudier.
Un pigeon venait d’arriver il y a quelques minutes, annonçant que le PR du Désert était attaqué, et que les elfes y étant étaient encerclés. Les ennemis étaient ils plus nombreux ou tout simplement plus organisés ? Observant les deux armées, Herazal comprit qu’il y avait un peu des deux. Les ennemis c’étaient montrés plus rusés cette fois ci, mais ils étaient surtout plus nombreux, quelque soit le talent de l’Oskorei : ils n’étaient tout simplement pas possible d’éradiquer cette masse verdâtre, dans laquelle un corps tombé était immédiatement remplacé.
Redescendant du rocher, Herazal se dit qu’avec les alliances constantes des autres races, la seule solution pour les Elfes d’être enfin reconnus pourrait être une alliance entre les plus grandes escouades Elfes du monde Rominien. Il s’allongea et s’endormit, rêvant aux soldats des MarchOmbres, de l’Orion, des Ange_Noirs et bien sur, de l’Oskorei marchant tous ensemble vers un ennemi commun. Ce qui ne serait pas possible sans une extraordinaire coordination entre les différentes escouades. Mais ce n’était pas avec des « impossibles » ou des « ce n’est qu’Utopie » qu’ils avaient triomphés par le passé, ni élu Shloom première puissance du carnage Babelien.
Voila pourquoi Herazal ce surprenait à rêver…