"Je suis Oukiok, un jeune elfe qui vivait avec ses parents au fond d'une forêt; nous n'allions que très rarement au village. J'en sus plus tard la raison et pourquoi les autres elfes nous regardaient d'un air méprisant et dédaigneux.
Mon père était un elfe puissant capable d'invoquer une créature faite d'eau, je ne l'ai vu le faire qu'une seul fois.
Ce jour-là, nous étions tranquillement devant notre cabane en train d'écouter la forêt et ses habitants se réveiller après une nuit paisible, quand je vis mon père se lever et dire à Nyaka (ma mère):
- Prend Oukiok et emmène le en sécurité !!
Ma mère me pris par le bras et me fis courir derrière un grand et magnifique chêne. Nous étions allongés tout les deux allongés dans l'herbe à regarder mon père.
Je ne comprenais rien à ce qui se passait, je le voyais seul au milieu de la clairière à attendre, mais Quoi ??
Je sentais bien une présence mais j'étais incapable de l'identifier.
Soudain mon père reçu deux flèches dans une cuisse; et je vis sortir du bois cinq créatures, leurs vus et leurs odeurs étaient aussi répuniantes l'une que l'autre.
Ma mère me mis la mains devant la bouche en me disant:
-Tais-toi et regarde ce que peux faire un elfe; ce sont les Iskiems, ils sont dangeureux...
Je sentais dans sa voix de la fierté et de la crainte, elle tenait avec son autre main une arbalète déja prête à tirer.
Juste après sa blessure, je vis mon père lever les bras au ciel et de loin l'entendais prononcer des mots d'un langage qui m'était inconnu.
Avec stupeur, les créatures virent toutes les gouttelettes de la rosée matinale se rassembler et former un être d'eau qui les surplombait de plusieurs pouces.
Aussitôt elle bondit sur deux des créatures et les noya sous ses flots; au même moment des éclairs sortaient des mains de mon père et térrassairent le troisième.
L'une d'entre elle fit apparaître un être immonde, tout décharné; je sentis ma mère se lever, en me disant:
- Oukiok reste ici et ne bouge pas !!
Elle se mit à manier son arbalète, chose que je ne l'avais jamais vu faire, ses gestes étaient rapides et précis; le temps de le dire et une volée de flèches atteint le colosse en plein dans le cou. Celui-ci hurla de douleur et de rage couru vers ma mère mais s'écroula de tout son poids dans une mare de sang qui ruissela sur l'herbe fraîche. La créature qui l'avait invoqué se replia sur elle-même et poussa un cri de douleur sourd.
La dernière créature qui n'était pas encore entrer dans le combat attaqua ma mère avec une hache et le blessa au bras, de colère mon père leva le bras et fit se soulever un rocher et le laissa tomber sur lui avec violence; le sol trembla sous l'impact.
Ma mère en profita avec les forces qui lui restaient pour achever la créature affaibli par la mort de son colosse.
Avec l'énergie de la rage qui lui restait, le dernière s'élança vers vers ma mère qui gisait au sol trop affaibli par sa blessure; à ce moment je vis l'être d'eau bondir sur cette créature et la faire tomber au sol avec elle. Les deux êtres se livraient un combat sans merci tout les coups étaient rendus, brusquement le combat fut interrompus par un bruit sourd venant du ciel.
Un énorme éclair s'abattit sur la créature et avec la présence de l'être d'eau des étincelles et éclairs jaillir de toute part,
la créature s'écroula au sol encore fumante après l'impact.
l'être d'eau très faible vint au côté de ma mère, pensa ses plaies et regarda mon père en se divisant en goutelettes de rosée.
Mon père traversa la clairière en boîtant et pris tendrement ma mère dans ses bras et la laissa pleurer.
Je sorti de derrière mon arbre à la fois fier et éffaré par ce que je venais de voir; mes parents venaient de tuer six créatures, eux que je connaissaient calmes et respectueux de tout être vivants.
Mon père regarda ma mère et lui dit:
- Il est temps de tout lui dire.
- si tu penses qu'il est près , lui répondit ma mère en versant une larme.
S'en suivirent de longues soirée avec mon père où il me parla d'une lutte sans merci entre des races que je ne connaissais pas ( à part Aldarion que mes parents avaient reccueilli depuis plusieurs lunes).
J'avais déjà fait connaissance avec les morts-vivants, Aldarion était un orc mais apprivoisé et habitué à l'elfe.
Il me dit que c'était la raison des réactions des elfes du village, les autres orcs sont des être violents et sans merci, mes parents fidèles aux lois de la vie préferairent le garder après l'extermination de son clan par les elfes en représaille d'une attaque de notre village.
Aldarion n'avait que quelques mois à cette époque et fut trouvé à côté du corps de sa mère gisante.
Il me parla d'un Cor qui appelai certains elfes "élus" pour s'allier et entrer dans ce qu'il appela " La chasse sauvage".
Après cette longue initiation, le vie repris son cour.
Les journées étaient rythmées par de longs jeux avec Aldarion au travers des bois, il était presque adulte mais avait toujours une âme de jeune orc joueur et taquin; ses grimaces et mimiques faisaient rire mes parents, pendant nos repas pour lesquels Nyaka n'oubliai pas de nous faire son fameux pain elfique avec son sirop de datura.
Les lunes passaient au rythme des saisons, quand vint la lune, Cette Lune dont je me souviendrai toute ma vie...
Cette soirée-là Aldarion était très excité, mes parents avaient du mal à le calmer, son regard était vide et se mettait à luire dès qu'il regardait la lune .
Ma mère dit à mon père:
- Ne penses-tu pas que nous devrions commencé à l'enfermer?
Mon père eu un sourire et dit:
- Rassures toi, je pense qu'Aldarion est encore trop jeune pour être influencé par la lune rouge.
Nyaka rassurée donna une tartine de pain elfique à Aldarion, qu'y la dévora goulumant avant d'aller se coucher sur sa couche de branchages.
Peu après, quand toute la famille dormait, j'entendis des cris effroyables de lutte, des bruits de fracas dans la cabane, je me levai et vis Aldarion debout dans la pénombre; les mains et le torse couverts de sang.
Mon sang ne fit qu'un tour , je couru dans la chambre de mes parents en trébuchant à plusieurs reprise sur les meubles en pièces dans la salle commune.
Je tombai les genoux au sol à la vue de mes parents morts.
Ma mère avait le visage déchiré et était dans une mare de sang , son sang à moins que ce ne soit celui de mon père ... Mon père quand j'y repense, j'en ai encore les yeux qui se gonflent de rage et de haine...il était gisant de l'autre côté du lit, la poitrine ouverte , et à la place du coeur ,le vide et les poumons à moitié dévorés.
Le temps de me remettre de mes émotions et je bondis sur l'arbalète de ma mère et sorti de la cabane; Aldarion était déjà à la lisière du bois. Je me lançai à sa poursuite pendant plusieurs jours et devant me rendre à l'évidence Aldarion devait être loin ...Je suis revenu à la cabane de mes parents.
je les ai enterré au pieds du grand et magnifique chêne derrière lequel Nyaka m'avait abrité lors de leur combat contre les morts-vivants.
Après plusieurs jours d'hésitation entre suivre la voix de la sagesse enseignée par mes parents et celle de la haine et de la rage envers Aldarion et ses semblables, je me suis mis en chemin en espérant entendre le son du Cor dont m'avait parlé mon père.
Au bout de plusieurs lunes d'érrance, j'ai croisé quelques elfes qui se réclamaient de l'Oskorei.
une des elfes qui avait des chaînes aux poignets s'approcha, je lui demanda si elle accepterai que je les suive .
Elle eu un moment de réflexions et me dit :
- Je connais l'histoire de tes parent avec leur orc ( dit-elle d'un air méfiant)
et poursuivit:
- Qui me dit que tu resteras fidèle à notre race et à notre escouade qui est déjà fort fourni en fier et féroce combattants ?
ma réponse sorti d'un trait:
- Ecoute-moi, noble elfe, je ne te demande rien à part de pouvoir vous suivre et vous aider à repousser tout être non-elfe de notre territoire .Ma Seule exigeance sera que lorsque nous croiserons un orc du nom d'Alderion; que je sois le seul à lui porter des coups ou que tes elfes les portent en mon nom , lui fasse subir le même sort que mon père Kalodinakel époux de Nyaka ma mère ont subis .
la jeune elfe posa une main sur mon épaule et me dit :
- tu me raconteras l'histoire de tes parents prochainement, pour le moment nous allons au Sud de notre village, il se dit que des orcs y massacrent nos compatriotes ; peux-être y croiserons nous la raison de ta rage .
j'eu des frissons dans tout le corps et dit en regardant le ciel:
- puisses-tu avoir raison ..."
vala c'est mon premier RP donc n'hésitez surtout à me dire ce que vous en pensé .
sinon [IRL: moi c'est Bastien, 33 ans , passionné de chiens de traîneau, j'en ai cinq ]